Le mot de la fondatrice B3nj@m1-974 15 novembre 2022
LA VISION D'ALINE GRONDIN CONFIANCE

Être assistant social c’est, avant tout, être à l’écoute de l’autre.

Aller en entreprise, c’est permettre aux salariés d’accepter l’aide qui leur est proposée.

Les rendez-vous sont pris par téléphone ou mail, pendant le temps de travail, dans les locaux. Le secret professionnel est le garant d’un accompagnement adapté à chaque situation. La relation de confiance se construit et permet l’expression des difficultés de la vie.

C’est une expertise pour vous accompagner avec un cercle vertueux :

  • définir ensemble vos besoins et concevoir une réponse adaptée
  • être attentif aux salariés et à leurs proches, à la maison et au travail
  • travailler mieux pour vivre mieux et être mieux pour travailler mieux
  • être bien dans sa tête, bien dans son corps, bien dans son entreprise

Tel est mon engagement : vous informer et vous apporter des outils personnalisés sur les thèmes de la vie : famille, santé, travail, retraite, logement, budget, administratif, judiciaire… 

L’AST intervient dans un contexte qui préexiste professionnellement. Chacun a ses domaines, ses propres discours, modes d’intervention et enjeux. Il convient de les remettre en perspective et en synergie. L’AST n’a pas le pouvoir du changement : elle l’accompagne en rendant ce pouvoir à la personne qui s’approprie le soutien proposé. Le travail de médiation permet à l’un de comprendre les incompréhensions de l’autre et vice versa. C’est un espace neutre, sans jugement où la subjectivité peut s’exprimer afin de réinscrire l’événement dans l’histoire de sa vie et de l’institution. En marge de la hiérarchie cela permet de déposer les souffrances et de reprendre les rênes de sa vie. 

En effet, plus l’AST s’intéresse à la personne, plus elle abat des barrières afin d’aller vers des ouvertures de droit. Le temps est donc primordial à la personne mais aussi à l’accompagnement social qui se calle sur le rythme de cette dernière pour s’ouvrir sur une reconnaissance réciproque, intime et institutionnelle. 

J’ai plusieurs fois changé de poste au nom de mes convictions. Face aux manques de moyens, je suis résistante et créative. En faisant des vas et vient entre pratique et théorie, avec une maîtrise en science de l’éducation puis un diplôme universitaire en victimologie, mais aussi entre terrain et formation en accompagnant des stagiaires et en tant qu’intervenante à l’IRTS, je cherche à mettre en action 3 légitimités : celle du public accueilli, celle de l’institution donc du décideur et celle des partenaires de l’aide. J’ai en effet un double besoin : trouver du sens et transmettre des valeurs. C’est ainsi que j’ai créé mon entreprise pour pouvoir exercer en libéral et être dans le respect de l’autre et l’épanouissement au travail. Accompagner c’est comprendre, soutenir et partager. Ma légitimité est d’être au service de l’entreprise demandeuse d’aide pour le mieux-être de ses salariés. Espace de décompression et d’analyse, j’accompagne le réveil du potentiel humain et les changements grâce notamment aux informations, orientations fournies. Ainsi l’AST est responsable des moyens proposés et le salarié du processus jusqu’au résultat.